| Les techniques modernes d'imagerie cardiaque permettent de mettre en évidence des fuites valvulaires minimes sans caractère pathologique. Par ailleurs, la simple ballonisation de la valve mitrale, variante de la normale, doit être distinguée du prolapsus valvulaire mitral défini par des critères échocardiographiques. |
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| 1. Régurgitation valvulaire minime, sans anomalie anatomique associée des structures cardiaques. |
G |
2 |
| 2. Valvulopathies acquises, dystrophiques (hors prolapsus valvulaire mitral) et congénitales : selon l'importance, le retentissement et le risque évolutif : |
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- à l'engagement initial dans les armées ;
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G |
3 à 6 |
- en cours de carrière ou de contrat ;
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G |
2 à 6 |
| 3. Prolapsus valvulaire mitral (PVM) : selon l'existence ou non d'un épaississement des feuillets, de son importance, l'existence ou non d'une fuite mitrale et le volume régurgité : |
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- à l'engagement initial dans les armées ;
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G |
3 à 6 |
- en cours de carrière ou de contrat ;
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G |
2 à 6 |
| 4. Valvulopathies corrigées : |
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- prothèses valvulaires (biologiques ou mécaniques) ;
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G |
4 à 6 |
- techniques reconstructives (chirurgicales dont homogreffes, percutanées) :
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- à l'engagement initial dans les armées ;
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G |
5 |
- en cours de carrière ou de contrat ;
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G |
3 à 6 |
- valvuloplastie endoluminale selon les séquelles.
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G |
2 à 6 |
| 5. Endocardite infectieuse : |
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- datant de moins de 6 mois ;
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G |
5T |
- datant de plus de 6 mois, selon les séquelles et le risque de récidive :
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- à l'engagement initial dans les armées ;
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G |
5 |
- en cours de carrière ou de contrat.
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G |
3 à 6 |